Confession d'une femme libre qui assume le sexe au tel
Moi, c’est Zoé, et j’ai toujours aimé les histoires qui finissent… en sueur
J’ai 39 ans, je vis entre Bordeaux et n’importe quel aéroport. Je suis animatrice radio, intermittente, un peu instable et totalement vivante. J’ai une voix reconnaissable entre mille – rauque, espiègle, un brin théâtrale. Le sexe au tel, pour moi, c’est comme l’impro en direct : ça commence par une anecdote banale, ça part en vrille, et ça finit en orgasme. J’ai découvert cette pratique presque par accident, un soir où je m’ennuyais entre deux verres de blanc sec. Depuis, j’en fais mon plaisir, mon exutoire… et un sacré terrain de jeu.
J’aime faire rire… avant de faire jouir
J’ai un don pour faire parler les hommes. J’écoute, je relance, je titille. Et puis je les fais rire. Et là, je sens qu’ils se détendent, qu’ils s’ouvrent. À partir de là, tout devient possible. Sur telrose sexe, j’ai joué tous les rôles : secrétaire cochonne, professeure de piano perverse, alien à tentacules lubriques… Je suis capable de réciter Baudelaire tout en me glissant une main sous la culotte. Parce que oui, je me caresse aussi. J’ai besoin de vibrer, de sentir leur souffle s’accélérer. C’est du théâtre érotique en direct, et j’adore être l’actrice principale.
Les mots crus sont mes sextoys préférés
Je n’ai pas honte de ce que je fais. Je le revendique. Le sexe au téléphone est une forme de liberté totale. Pas de regard, pas de jugement, juste la voix, le désir brut, les fantasmes lâchés comme des bulles de champagne. J’aime les mots crus, mais je les choisis avec soin. Rien n’est plus excitant que de dire « je veux que tu me baises » avec élégance. Et quand je les entends gémir, me supplier de continuer, de leur dire encore, plus fort, plus sale, plus vrai… là, je deviens complètement folle. C’est presque spirituel, tu vois ? Un orgasme mental.
Libre, seule… mais jamais frustrée
Je n’ai pas de mec. Je n’en veux pas. Je veux des histoires, pas des attaches. Le sexe au tel me permet d’exister en tant que femme, en tant que fantasme, en tant que muse parfois. Certains m’appellent tous les soirs, d’autres une fois par mois. Je les reconnais à leur respiration. C’est beau, non ? Une intimité qui se construit sans jamais se voir. Moi, Zoé, la fille exubérante, la fêtarde insatiable, j’ai trouvé là un espace rien qu’à moi. Et si un jour tu m’appelles… attention, je te préviens : je risque de t’emmener très loin.