Pourquoi je ne pouvais pas rester au Japon
Là-bas, trop de règles, trop de silence. On ne parle pas de cul, encore moins de bites monstrueuses. J’étais étouffée. En arrivant en France, j’ai compris que je pouvais tout dire, tout vivre. Les mecs m’ont montré ce que c’était que d’être prise en grand, et j’ai adoré sentir mon petit gabarit se faire remplir. J’ai décidé que je ne cacherai plus jamais mes envies.
Cosplay, seins énormes et voix cochonne
Je joue avec mon image. Mes gros seins disproportionnés, mes yeux bridés, ma bouche pulpeuse… j’ai tout d’une héroïne manga cochonne. J’adore enfiler mes costumes de cosplay : lycéenne, catgirl, infirmière. Et au téléphone, je décris chaque détail, jusqu’à ce que les mecs craquent. Ma voix timide devient sale, mon rire devient provocant. Et je mouille rien qu’en entendant leur respiration s’emballer.
Le sexe au tel, mon addiction française
Depuis que j’ai goûté au
sexe au téléphone, je ne peux plus m’arrêter. C’est ma drogue, mon vice, ma liberté. Je fais jouir des inconnus avec ma voix, et souvent, je me fais jouir avec eux. Je leur raconte mes délires, mes envies de grosse queue, mes orgasmes bruyants… et je sais qu’ils me rappelleront, incapables de m’oublier. Avec le
sexe au tel, je ne joue pas un rôle. Je suis moi : une asiatique timide le jour, mais une salope qui adore les bites énormes la nuit.
