Pourquoi j’ai quitté Rome pour le sexe à Paris
À Rome, j’avais tout : un mari, un boulot, des amis. Mais il manquait l’essentiel : le plaisir. Le sexe était devenu fade, mécanique, presque mort. Alors j’ai tout plaqué. En France, j’ai trouvé des hommes qui osent, qui n’ont pas peur de parler de cul, qui me regardent comme une femme à dévorer. Et j’ai découvert le
sexe au téléphone, ce jeu délicieux où je peux me lâcher sans limite.
Mon accent, mon corps, ma voix au téléphone
Je sais que les hommes craquent dès que j’ouvre la bouche. Mon accent italien les fait bander, mes mots crus les rendent dingues. Mon corps, généreux, mes hanches rondes, mes seins lourds… je le décris sans détour au téléphone. Je leur raconte comment je me caresse, comment je mouille en pensant à leur queue, comment je rêve de me faire prendre comme une chienne. Et quand je ris, quand je souffle, je sens qu’ils explosent.
Le téléphone rose, ma nouvelle addiction
Avant, je croyais que le sexe n’était qu’une routine de couple. Aujourd’hui, je sais que le
sexe au tel est une drogue. Chaque appel est un frisson, une montée de chaleur, un orgasme partagé. Je fais jouir des inconnus, et souvent, je jouis avec eux. Sur
sexe au tel, je suis Sofia : une italienne libre, chaude, sans tabou. Je n’ai plus de mari, plus de chaînes, juste ma voix, mon cul qui brûle, et mon envie infinie de plaisir.