Sophie, l'infirmière accroc au sexe

blog sexe au tel de Sophie
Découvrez l’histoire érotique de Sophie, infirmière de 46 ans à Toulouse, qui jongle entre blouse blanche et plaisirs intimes sans limites en pratiquant le sexe par téléphone.

Une vie de femme, de mère… et de salope

Je m’appelle Sophie. J’ai 46 ans, je suis infirmière dans un hôpital de Toulouse, maman d’un grand garçon de 18 ans, et j’ai une addiction que peu assument : le sexe. Pas l’amour, pas la tendresse. Le sexe brut, le plaisir viscéral, la baise qui fait trembler les cuisses. Je le dis sans honte parce que c’est ma vérité, mon carburant, mon oxygène. J’ai besoin de jouir plusieurs fois par jour, comme d’autres ont besoin de cloper ou de courir. Je suis blonde, coupe au carré, yeux bleu azur, et j’entretiens un corps de rêve. Pas par vanité, mais parce que c’est ma seule manière de rester vivante. Je passe trois heures par semaine en salle de sport, je me dope à l’endorphine comme à la jouissance, et j’ai besoin qu’on me regarde, qu’on me désire, qu’on me prenne. Mon corps n’est pas un temple, c’est une aire de jeux. Et j’en suis la maîtresse d’école.

Entre blouse et culotte, il n’y a qu’un bouton

À l’hôpital, je suis la professionnelle impeccable. Blouse blanche, sourire aux lèvres, gestes précis. Mais sous la blouse, toujours une culotte affriolante, parfois même rien. Et quand je fais une pause, je descends au sous-sol ou je monte dans ma voiture garée au parking. J’y prends des appels. Oui, je fais du téléphone rose, du sexe au tel, de la baise téléphonique ! C’est mon exutoire, mon plaisir entre deux patients, ma récréation interdite. J’adore entendre des voix d’hommes qui bandent en m’écoutant raconter mes fantasmes. J’aime leur parler crûment, leur décrire comment je me doigte, comment je me branle avec mon stéthoscope ou avec la crosse de mon tensiomètre. Certains me demandent si je me suis déjà fait baiser dans un lit d’hôpital. Je leur dis que oui, plusieurs fois. C’est faux, mais c’est terriblement excitant à imaginer. Et puis, qui sait… ça viendra peut-être.

La dépendance au plaisir

Le matin, je commence ma journée avec un orgasme. Je ne peux pas me concentrer si je n’ai pas pris ma dose. Un bon coup de jet de douche entre les jambes ou deux doigts bien appuyés sur mon clito en regardant un porno de gangbang. J’ai besoin de cette montée. Sans elle, je deviens agressive, tendue, désagréable. On me croit équilibrée, stable… mais je suis une nymphomane en blouse blanche, toujours au bord de l’implosion. Dans ma vie privée, je ne garde jamais un homme plus de trois mois. Ils tombent amoureux et moi je m’ennuie. Ce que je cherche, c’est un sexe dur, des mains fermes, un regard qui dit “je vais t’éclater la chatte”. J’aime être prise, tenue, retournée comme une pute. Je veux être pénétrée, remplie, étirée. L’amour ? Je l’ai eu avec le père de mon fils. Le reste, c’est de la baise. Et je suis une experte.

Les fantasmes, sans filtre

J’ai tout essayé ou presque. Le sexe dans des toilettes publiques, les plug anaux au boulot, les appels à quatre mains avec une copine qui me branlait pendant que je parlais à un inconnu. J’ai joué la soumise, la dominatrice, la maman incestueuse, la patiente délurée. Les hommes me demandent des choses folles : raconter que je me fais enculer par un patient, que j’allaite un bébé pendant qu’on me doigte, que je branle un papy grabataire en salle de réveil. Je dis oui à tout, sauf à ce qui me dégoûte. Je ne ferai jamais de trucs avec des animaux, des enfants, ou des actes dégradants non consentis. J’ai des limites. Mais dans le cadre du jeu, du fantasme consenti, je suis une putain de scène de théâtre. Et je joue tous les rôles à la perfection.

Le plaisir de l'interdit

Rien n’excite plus qu’un appel pris entre deux visites de chambre. J’ai déjà parlé à un mec pendant que je faisais un pansement. Le téléphone glissé dans la poche, les écouteurs dans les oreilles, ma voix douce répondant à ses gémissements pendant que mes mains soignaient une plaie. Il n’a jamais su que j’étais en blouse, que j’étais trempée sous ma culotte, que je me suis masturbée dans les toilettes juste après en repensant à sa voix. L’interdit, c’est mon aphrodisiaque. L’anonymat aussi. On peut tout dire à une voix sans visage. Et moi, je suis cette voix. Celle qui écoute, qui excite, qui fait jouir.

La double vie assumée

Ma sœur croit que je suis célibataire endurcie. Mon fils pense que je suis une maman un peu trop sportive. Mes collègues me prennent pour une femme forte, indépendante. Aucun ne sait que j’ai vibré toute la nuit avec un gode ceinture en me filmant pour un inconnu rencontré par appel. Que j’ai hurlé dans mon oreiller en criant le prénom d’un mec qui m’appelait “ma pute d’infirmière”. Que j’ai joui jusqu’à me faire des crampes, seule, étendue sur mon carrelage froid de cuisine, en imaginant un gangbang avec quatre internes en médecine. Je suis Sophie. Infirmière à Toulouse. Maman aimante. Accroc au sexe. Accroc à la voix d’un inconnu qui me dit qu’il bande pour moi. Accroc à l’idée que mon corps ne m’appartient plus pendant ces quelques minutes de plaisir partagé par téléphone. J’ai fait de mon besoin une arme. Et de ma jouissance un art.
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