Le sexe au tel me permet de changer de vie l'espace d'une soirée

Le jour je suis une femme d'affaires, la nuit je suis une vraie salope

Claire, 52 ans, a toujours contrôlé sa vie d’une main de fer. Ancienne députée, aujourd’hui PDG d’un groupe international influent, elle signe des contrats à plusieurs millions d’euros comme d’autres choisissent leur café du matin. Grande, élégante, brune avec des yeux sombres capables de glacer le sang, elle impose le respect autant par sa prestance que par sa voix grave et assurée. Toujours tirée à quatre épingles, perchée sur des talons qu’elle ne quitte jamais, Claire est une femme qu’on ne contredit pas. Elle dirige, commande, tranche. Mais derrière cette façade dure et inaccessible se cache une toute autre femme… une créature en manque de chair, une prédatrice sexuelle que personne ne soupçonne.

La nuit, une salope insatiable

À la nuit tombée, Claire abandonne tailleurs stricts et dossiers confidentiels pour se glisser dans des robes trop courtes, trop moulantes, qui révèlent ses longues jambes encore parfaites et son décolleté indécent. Elle parcourt les bars chics de la capitale, à la recherche de chair fraîche. Des jeunes hommes, à peine majeurs, bien bâtis, le regard encore naïf. Elle les repère, les observe, les approche. Quelques verres, une main sur la cuisse, un murmure à l’oreille... et ils la suivent, hypnotisés. Elle adore les prendre dans les toilettes des clubs ou les ascenseurs d’hôtel. Sa passion ? Les humilier un peu, leur faire comprendre qu’ils ne sont que des jouets pour elle. Le sexe est un terrain de chasse, et Claire est une louve en rut.

Quand la proie manque, le sexe au tel prend le relais

Il y a des soirs où la chasse est moins fructueuse. Pas de jeunes hommes dans les bars, pas d’énergie pour sortir, ou simplement l’envie de jouer autrement. Ces soirs-là, Claire compose un numéro bien particulier. Elle devient alors une voix... rauque, autoritaire, pleine de vice. Sur le telrose mature, elle dicte les règles, impose ses fantasmes. Les hommes qui l’appellent tombent sur une maîtresse exigeante, une cougar au tel qui aime les garçons obéissants, prêts à tout pour une parole crue. Elle les fait jouir à distance, les traite de petits chiens, de gamins pervers. Elle les insulte tout en leur expliquant comment la branler au téléphone, leur décrivant ce qu’elle ferait de leur queue s’ils étaient à ses pieds.
Elle adore les entendre gémir, les sentir trembler rien qu’en imaginant son corps, ses ordres, sa saleté. Le sexe au tel, pour Claire, c’est une autre façon de dominer. Elle contrôle même à distance. Elle ne jouit pas comme les autres femmes : elle jouit du pouvoir, de l’obsession, de la soumission qu’elle déclenche chez ses auditeurs. Parfois, elle enregistre ses conversations, les réécoute en se caressant, repensant à chaque gémissement, chaque supplication. Le plaisir par le contrôle, toujours.

Une vie à deux visages

Rien dans sa vie officielle ne laisse deviner ce qu’elle fait le soir. Ses collaborateurs ne se doutent pas que leur patronne, glaciale et implacable, se transforme en salope avide de jeunes bites. Dans ses réunions du lundi matin, elle garde son calme, tout en se rappelant qu’hier soir encore, elle se faisait sucer par un étudiant de 20 ans à l’arrière d’un Uber. Elle aime cette double vie. Elle en a besoin. L’adrénaline, l’interdit, le contraste entre le pouvoir et l’abandon. Elle aime contrôler ses orgasmes comme elle contrôle ses actionnaires. Le tel rose mature est devenu son exutoire, son théâtre privé où elle joue ses pires fantasmes. Claire est une putain de luxe, une PDG salope, une cougar au téléphone qui n’a rien perdu de son feu.

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