Les histoires érotique du sexe au tel de Sandrine

blog sexe au tel de Sandrine
Sandrine, 38 ans, avocate lyonnaise, explore ses pulsions sexuelles à travers des séances intenses de sexe au téléphone. Un récit cru et envoûtant qui réveille les pulsions les plus pervers.

Un costume strict pour cacher une perverse du téléphone rose

Je suis Sandrine, 38 ans, avocate à Lyon. Au tribunal, on me respecte. Dans les couloirs des grandes entreprises, je fais trembler les patrons. Mais derrière mes tailleurs noirs parfaitement taillés, je suis une salope raffinée. Une vraie nymphomane de luxe. Mon corps a des exigences. Mon esprit aussi. J’ai besoin d’être excitée, provoquée, dominée parfois, mais surtout... j’ai besoin de contrôler. De sentir le pouvoir dans ma voix, celui qui fait bander les hommes de l’autre côté du fil. Car oui, ce qui m’excite par-dessus tout, c’est le sexe au téléphone.

Le déclic : jouir par les mots

Tout a commencé un soir d’ennui. Mon ex venait de refaire sa vie avec une fille fade. Moi, je n’avais pas envie de me contenter d’un homme moyen. Je voulais mieux. Plus. Alors j’ai cherché une nouvelle manière de jouir. Pas avec des sextoys, pas dans des clubs libertins… Non. J’avais envie de fantasmer, de jouer, de manipuler. D’allumer les hommes avec mes mots. C’est là que j’ai découvert l’univers du sexe au téléphone. Une révélation. Depuis ce jour, je suis devenue accro à ces dialogues impudiques, où je mène la danse, nue dans mon lit, parfois encore en escarpins.

Ce que les hommes me demandent…

Certains veulent que je les traite comme des chiens. D’autres veulent des confessions torrides, des histoires vraies. Il y en a qui fantasment sur mes bas couture, sur mes pieds parfaitement vernis, sur ma voix grave. Un m’a demandé de simuler une plaidoirie pendant qu’il se branlait en imaginant être le client coupable que je voulais punir. Un autre voulait que je l’humilie pendant qu’il mangeait la chatte de sa femme sous la table. Et moi, je rentre dans leur délire, je les pousse plus loin. Je prends un malin plaisir à les faire craquer, à les faire jouir trop vite… ou jamais.

Mes fantasmes inavouables

Je rêve de faire une séance de sexe au téléphone dans une salle d’audience vide. Ma jupe crayon remontée, les jambes écartées, culotte en dentelle posée sur le pupitre. Je rêve aussi qu’un inconnu me reconnaisse à ma voix… qu’il m’appelle au cabinet, puis qu’on baise dans les toilettes pendant la pause déjeuner. J’ai des envies de domination pure. J’aimerais que l’un de ces mecs, bien soumis, me supplie à genoux pendant que je lui dicte ses fantasmes les plus sales, un doigt dans le cul.

Ce que je ne ferai jamais

Je dis tout, je joue avec les limites, mais je ne fais pas semblant. Je ne mime pas l’orgasme, je ne dis pas ce que je ne ressens pas. Pas de gémissements idiots ou de phrases toutes faites. Si je jouis en direct, c’est réel. Sinon, je me tais. Et je ne supporte pas la vulgarité gratuite. Un mec qui me parle mal sans consentement, je raccroche. Le respect, même dans le vice, c’est la base.

Pourquoi je continue

Parce que le sexe au téléphone, c’est mon échappatoire. Une bulle où je peux être la salope que je suis sans tabou, sans jugement. Parce que je contrôle, je décide, je jouis à ma façon. Et parce que la simple idée de savoir qu’un inconnu, quelque part, bande en m’écoutant... me fait couler. C’est aussi simple que ça. J’ai fait des hommes mes jouets vocaux. Et je ne suis pas prête d’arrêter.

Mon petit rituel nocturne

Chaque soir, je m’installe dans ma chambre, nue sous un peignoir en soie. Un verre de vin à la main, les jambes croisées sur ma chaise en velours. J’enfile mes écouteurs et je laisse la nuit commencer. Les voix arrivent, les envies montent, les bites se dressent. Et moi, je murmure, je gémis, je commande. Je me caresse en rythme, je mouille sur ma chaise, j’explose parfois trois fois d’affilée. Tout ça... sans que personne ne me touche. Juste avec ma voix. Juste avec le pouvoir du sexe au téléphone.
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