De dentiste le jour à dominatrice la nuit… et maintenant maîtresse domina
Je m’appelle Noémie. J’ai 37 ans. Il fut un temps où je passais mes journées à tenir une fraise dentaire et à dire aux patients de ne pas bouger. Une blouse blanche impeccable, un sourire poli, et ce ton rassurant que les gens attendent d’une professionnelle. Ce n’était qu’un masque. Une prison. Sous cette façade se cachait une reine noire, une femme qui n’aspirait qu’à faire plier les hommes, non pas pour leur arracher une dent, mais pour leur faire avouer leurs fantasmes les plus honteux. J’ai tout quitté. Aujourd’hui, je suis leur maîtresse. Leur déesse. Une dominatrice au tel, vêtue de cuir, tenant leur queue par la voix.
Tu penses que c’est exagéré ? Viens écouter un appel, tu comprendras. Je commence toujours lentement. Je leur décris mes cuissardes, mon corset, mes gants de cuir. Puis je leur dis qu’ils ne sont rien. Juste une bite sur pattes, inutile sans ma voix pour les guider. Et ils m’écoutent. Ils paient pour souffrir verbalement. Certains veulent que je leur dise qu’ils sont de la merde, que je les forcerais à lécher mes bottes, que je les priverais de toute érection pendant un mois. D’autres veulent que je joue leur femme, leur patronne, leur propre mère parfois. Tout ça, c’est du tel rose dominatrice. Et je suis la meilleure dans ce rôle.
Je m’allonge nue dans mon fauteuil en cuir, un verre de vin rouge à la main, pendant que je les fais se branler à mes pieds, à distance. Certains éjaculent sans permission, et je leur hurle dessus. D’autres suppliants demandent une cage de chasteté virtuelle. Un simple appel devient une séance de dressage psychologique. J’adore les entendre pleurnicher. J’adore sentir leur frustration à travers le combiné. Et le plus délicieux ? Ils reviennent tous. Parce qu’aucune autre voix ne les réduit à l’état de loque comme la mienne. C’est plus qu’un simple baise au tel, c’est une guerre. Et je gagne toujours.
Je suis dentiste dans une autre vie. Aujourd’hui, je suis leur Maîtresse. Leur espoir. Leur damnation. Et je continuerai à régner, au bout du fil, sur cet empire secret de désirs noirs, où chaque mot que je prononce est une morsure. Voilà ce qu’est une vraie dominatrice au tel.
Les puissants ne sont puissants que lorsqu’ils rampent pour moi
Mes clients ne sont pas des losers. Non. Ce sont des PDG, des juges, des chirurgiens… Des mecs en costard qui dirigent des boîtes, qui humilient leurs employés à coups de contrats ou de regards glacés. Et pourtant, dès que ma voix grave leur murmure 'à genoux', ils obéissent. Je n’ai même pas besoin d’un fouet réel. Mon ton suffit. Je les écrase verbalement. Je les insulte. Je les prive de jouissance. Je leur ordonne de se branler dans une chaussette sale, de se mettre un plug pendant qu’ils me supplient… et ils jouissent comme des chiens en chaleur. Voilà la magie du sexe au tel quand il est maîtrisé.Tu penses que c’est exagéré ? Viens écouter un appel, tu comprendras. Je commence toujours lentement. Je leur décris mes cuissardes, mon corset, mes gants de cuir. Puis je leur dis qu’ils ne sont rien. Juste une bite sur pattes, inutile sans ma voix pour les guider. Et ils m’écoutent. Ils paient pour souffrir verbalement. Certains veulent que je leur dise qu’ils sont de la merde, que je les forcerais à lécher mes bottes, que je les priverais de toute érection pendant un mois. D’autres veulent que je joue leur femme, leur patronne, leur propre mère parfois. Tout ça, c’est du tel rose dominatrice. Et je suis la meilleure dans ce rôle.
Ce n’est pas une simulation, c’est mon univers
Je ne joue pas un rôle. Je vis ma vérité. J’ai toujours su que je n’étais pas faite pour obéir. Ma voix est une arme. Mon silence est un supplice. Les mecs qui tombent sur moi pensent d’abord pouvoir m’avoir, comme les autres filles du sexe au tel. Ils se disent : 'Encore une chaudasse prête à gémir sur commande.' Et puis ils m’entendent. Mon ton ne tremble pas. Mes ordres sont précis. Je leur dis quoi faire, où mettre leurs doigts, comment se gifler, comment se mettre à genoux. Et là, ils comprennent. Ils ont appelé une impératrice. Une sadique sensuelle. Une reine du tel rose dominatrice.Je m’allonge nue dans mon fauteuil en cuir, un verre de vin rouge à la main, pendant que je les fais se branler à mes pieds, à distance. Certains éjaculent sans permission, et je leur hurle dessus. D’autres suppliants demandent une cage de chasteté virtuelle. Un simple appel devient une séance de dressage psychologique. J’adore les entendre pleurnicher. J’adore sentir leur frustration à travers le combiné. Et le plus délicieux ? Ils reviennent tous. Parce qu’aucune autre voix ne les réduit à l’état de loque comme la mienne. C’est plus qu’un simple baise au tel, c’est une guerre. Et je gagne toujours.
Ma jouissance est leur soumission
Je n’ai pas besoin de me masturber pour jouir. Je jouis quand un homme se décompose. Quand un mec me dit qu’il a quitté sa réunion pour m’entendre lui ordonner de se branler en pensant à sa honte. Quand il pleure en s’éjaculant parce qu’il sait qu’il m’appartient. Je n’ai besoin ni de leur amour ni de leur respect. Je veux leur allégeance. Et quand je raccroche, je sais qu’ils restent là, seuls, honteux, humiliés… et accros.Je suis dentiste dans une autre vie. Aujourd’hui, je suis leur Maîtresse. Leur espoir. Leur damnation. Et je continuerai à régner, au bout du fil, sur cet empire secret de désirs noirs, où chaque mot que je prononce est une morsure. Voilà ce qu’est une vraie dominatrice au tel.