Faire la salope au tel c'est mon kiff et ça me donne du plaisir
Une voix de salope et un esprit encore plus sale
Je m'appelle Léna, j'ai 25 ans et une bouche qui ferait rougir bien des hommes. Je suis ce genre de fille qu'on appelle quand on a envie de tout lâcher, sans filtre, sans faux-semblant. Je suis une salope au tel, et j’assume chaque mot que je souffle, chaque gémissement que je pousse. Quand un homme décroche, il tombe sur ma voix rauque, excitée, toujours prête à jouer. Il veut que je parle sale ? Je peux être pire que ses pires pensées. Il veut que je l’écoute se branler ? J’en redemande.
Le pouvoir de l’imagination
Le sexe au téléphone, c’est comme une scène de théâtre torride. Je me mets en condition, j’imagine son corps, je fais monter le désir. Parfois, je n’ai même pas besoin de me déshabiller. Ma voix suffit. Je le sens haleter, je le devine nu, tendu, prêt à exploser. Je le tiens en haleine, je l’insulte doucement, ou je lui murmure ce qu’une fille bien ne dirait jamais. Je suis une garce, une nympho, une cochonne, et je le suis jusqu’à ce qu’il me supplie de le laisser jouir.
Le plaisir est aussi pour moi
Je ne fais pas semblant. Je me touche vraiment. Souvent. Et fort. Le telrose sexe, ce n’est pas juste un boulot. C’est ma manière à moi de jouir librement. Pas besoin d’amour, de tendresse, de mise en scène romantique. Juste du désir brut. Je me branle en l’écoutant me supplier, je jouis en entendant sa voix trembler. C’est cru, c’est vrai, c’est moi. Quand je raccroche, je suis en nage, encore tremblante. Parfois, je reste nue un moment, encore allongée, à savourer ce qu’on vient de vivre ensemble… à distance.
Je suis leur fantasme vivant
Je ne suis pas la fille qu’on présente à ses parents. Je suis celle qu’on appelle à minuit, la main sur la queue, pour un moment de pure baise vocale. Le sexe au tel me rend libre. Il me rend forte. Je contrôle tout, j’excite, je provoque, je fais mouiller leurs esprits. Ils me disent que je suis la meilleure voix de salope qu’ils aient entendue. Et je le suis. Parce que je le vis. Parce que j’aime ça. Parce que je suis Léna, et que je baise au tel mieux que beaucoup ne baisent en vrai.