Sexe au tel sans tabou, Mathilde une étudiante pas comme les autres

blog sexe au tel de Mathilde
Voici l'histoire brûlante de Mathilde, 24 ans, étudiante en histoire de l’art à Bordeaux, qui explore le sexe au tel sans limites, entre exhibition, plaisir anal, et dilatations extrêmes.

Etudiante et libertine, j'aime le sexe au téléphone !

Je m'appelle Mathilde, j'ai 24 ans et j'étudie l'histoire de l'art à Bordeaux. Mon apparence n’est pas celle d’une étudiante discrète : je suis brune, la peau claire, avec des seins énormes que je n’essaie même plus de cacher. Les regards, j’en ai pris l’habitude. Mieux : je les recherche. L’exhibition, c’est mon adrénaline. Me sentir observée, désirable, me rend trempée en quelques secondes. Je pratique le naturisme depuis mes 18 ans, et aujourd’hui encore, je passe mes week-ends dans des coins isolés, nue, offerte au soleil… ou à plus si affinités. Je suis une vraie salope assumée, une libertine qui en veut toujours plus, mais les mecs de mon âge, soyons clairs, ne sont pas à la hauteur. Je les épuise. Ils jouissent trop vite, n'osent pas explorer, ont honte de leurs fantasmes. Alors je me suis tournée vers le téléphone rose.

Pourquoi le sexe au tel ?

Ce que j’adore avec le sexe au tel, c’est que rien n’est interdit. Les hommes me racontent leurs fantasmes les plus inavouables, et je les pousse encore plus loin. Le plaisir vocal, auditif, c’est une forme d'art. Je me caresse pendant que je leur décris comment je veux qu’ils me baisent. Je les entends haleter, s’abandonner. Et moi, je jouis avec eux. Je finis toujours par jouir au téléphone, parfois plus fort que si j'avais une queue en moi. Certains soirs, je fais jusqu’à cinq ou six appels. Je me gave de bites imaginaires, de doigts dans mon cul, de mains serrées autour de ma gorge pendant qu’on m’ordonne quoi faire. Et quand je raccroche, j’ai encore envie. Encore mouillée. Encore vide. J’enfile un manteau, pas de culotte, et je vais me balader en ville. Il m’est arrivé de m’agenouiller dans une ruelle pour me faire prendre par un inconnu. Oui, je suis comme ça.

Des demandes extrêmes au bout du fil

Au téléphone, les hommes m’ont demandé des choses que je n’aurais jamais imaginé. Dilatation extrême, plug anal de 25 cm, pénétration double, objets insolites… j’ai tout testé. J’ai déjà joui avec une brosse à cheveux dans le cul et un godemichet dans la gorge pendant qu’un inconnu me donnait des ordres au tel. Il y a quelques mois, un homme m’a demandé de simuler un gangbang dans une salle d’archives. J’ai décrit chaque homme, chaque pénétration, chaque coup de reins pendant qu’il se branlait. Je criais, j’haletais, je pleurais presque tant j’avais envie. J’ai fini à quatre pattes, toute seule dans mon studio d’étudiante, en train de hurler de plaisir.

Mes fantasmes les plus profonds

Ce qui me fait le plus jouir ? Me masturber devant un miroir, me voir écarter mes jambes, glisser deux doigts dans mon cul pendant que ma chatte dégouline. Je me regarde comme si j’étais un homme prêt à me sauter. Parfois, je me filme. Et j’envoie la vidéo à des inconnus que je drague en ligne ou à ceux qui me l’ont demandé au téléphone. J’adore aussi le sexe en public. J’ai baisé dans une cabine d’essayage, sur les berges de la Garonne, dans une salle de classe vide. Le risque me rend folle. Les pulsations dans mon clito, les frissons dans mon ventre, la chaleur dans mes reins… rien n’égale cette sensation.

Femmes, hommes, tout est permis

Je suis attirée par les femmes aussi. Leur douceur, leur odeur, leur langue. J’ai eu plusieurs aventures avec des copines de fac. Certaines étaient curieuses, d’autres comme moi : des salopes insatiables. On se baisait dans les douches du campus, dans les toilettes, sur nos bureaux. Un jour, on s’est même caressées dans un amphithéâtre vide, à poil sous nos manteaux. Et ce plaisir féminin, je le partage aussi au téléphone. J’ai déjà joué des scènes lesbiennes avec des hommes à l’écoute. Ils se branlaient en m’écoutant faire gémir une autre fille. J’improvisais, je criais, je simulais, mais parfois, j’étais vraiment en train de jouir avec une copine en visio pendant l’appel. Le sexe au tel, c’est ma drogue, ma scène de théâtre.

Mes limites… ou presque

Il y a peu de choses que je refuse. Je veux vivre chaque fantasme à fond, le pousser jusqu’au bout. Mais je garde le contrôle. Pas de violences réelles, pas de mineurs, pas de trucs dangereux pour le corps. Je peux m’humilier, me faire insulter, jouer les soumises, mais je reste maîtresse de mon plaisir. Certains m’ont demandé des trucs dingues : me foutre des fruits dans le cul, boire mon pipi en live, lécher mes pieds en me filmant. J’ai parfois dit oui. D’autres fois, j’ai raccroché. Ce que je cherche, c’est le frisson, l’orgasme, l’excitation pure. Et le sexe au tel m’offre cette liberté sans censure.

Conclusion : une salope libre, sans filtre

Je suis Mathilde, étudiante de 24 ans à Bordeaux, et je baise avec les mots, les sons, les images. Je suis une salope, une vraie, qui jouit dans tous les sens du terme. Et le sexe au tel, c’est ma scène, mon défouloir, mon terrain de jeu. Ceux qui m’écoutent savent qu’ils entrent dans un univers où rien n’est tabou, où tout peut être joui. Et moi, je continuerai tant que mon corps vibrera, tant que ma chatte mouillera au son d’une voix grave au bout du fil.
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