Pas faite pour travailler… juste pour jouir et encaisser
J’ai 22 ans, tout juste sortie d’un BTS que j’ai clairement fait pour la forme. La vérité ? Travailler dans un bureau m’emmerde. Me lever tôt, supporter des collègues chiants et me faire commander par un patron mal baisé, très peu pour moi. Je suis trop bonne, trop cochonne, et surtout bien trop maline pour passer mes journées à faire semblant de bosser pour un SMIC. J’ai compris très vite que mon corps était ma meilleure carte bancaire. Mon cul est une machine à cash, mes seins attirent le regard comme un aimant, et ma voix… putain, ma voix au téléphone rend les mecs dingues.
Alors j’ai commencé le tel rose. Au début, je me touchais juste un peu pour le fun. Mais les mecs devenaient tarés rien qu’en m’écoutant gémir. Très vite, j’ai compris qu’il suffisait que je dise “tu veux que je t’avale bien profond bébé ?” pour que leur carte bleue chauffe. Et moi, j’adore l’argent autant que la baise. J’ai trouvé ma voie : cochonne au tel, salope au tel, pute assumée au bout du fil, et ça me fait jouir presque autant que mes jouets.
Parfois, j’allume une bougie, je me mets nue devant mon miroir et je réponds aux appels les jambes bien écartées. Mes doigts glissent sur ma chatte pendant qu’un vieux de 60 ans me dit qu’il veut me bourrer comme sa première putain. Il croit me choquer ? Je me branle encore plus fort. J’ai entendu les trucs les plus sales au bout de cette ligne, et j’en redemande. Quand je raccroche, c’est le silence qui me parait vulgaire.
Je suis superficielle ? Absolument ! J’aime les sacs de luxe, les hôtels avec jacuzzi et les mecs blindés qui me traitent comme leur poupée cochonne. Je fais semblant de gémir s’il faut, mais en vrai je prends mon pied. Je me fais baiser dans les chiottes de clubs privés, je suce sous les tables au resto, je me fais prendre dans le coffre d’une voiture pendant que son chauffeur conduit… ma vie, c’est du cul tarifé et j’en suis fière.
Les seules choses que je refuse ? Les trucs qui m’empêchent de jouir. Si t’es là pour me faire la morale ou pour me parler comme à une femme fragile, dégage. Moi je suis une salope au tel, une vraie. J’ai le cerveau branché entre les jambes, et le cœur au fond de la gorge quand je l’avale bien profond. C’est ça ma vie : sexe au tel, plaisir pur, et zéro culpabilité. Tu peux me juger si tu veux. Moi, pendant ce temps, je jouis et je compte mes billets.
Alors j’ai commencé le tel rose. Au début, je me touchais juste un peu pour le fun. Mais les mecs devenaient tarés rien qu’en m’écoutant gémir. Très vite, j’ai compris qu’il suffisait que je dise “tu veux que je t’avale bien profond bébé ?” pour que leur carte bleue chauffe. Et moi, j’adore l’argent autant que la baise. J’ai trouvé ma voie : cochonne au tel, salope au tel, pute assumée au bout du fil, et ça me fait jouir presque autant que mes jouets.
Mon téléphone, c’est ma chatte numérique
J’ai transformé mon téléphone en sex-toy. Il vibre au rythme des bites en manque. Des mecs seuls, frustrés, mariés ou carrément dégénérés qui veulent tout me faire subir… et ça me va très bien. J’ai pas de limites. Tu veux m’imaginer à quatre pattes avec ta main dans ma gorge ? Vas-y. Tu veux que je t’insulte, que je te dise que je suis ta petite chienne salope prête à tout ? Je le fais en gloussant, la chatte déjà trempée.Parfois, j’allume une bougie, je me mets nue devant mon miroir et je réponds aux appels les jambes bien écartées. Mes doigts glissent sur ma chatte pendant qu’un vieux de 60 ans me dit qu’il veut me bourrer comme sa première putain. Il croit me choquer ? Je me branle encore plus fort. J’ai entendu les trucs les plus sales au bout de cette ligne, et j’en redemande. Quand je raccroche, c’est le silence qui me parait vulgaire.
De la cochonne au tel à l’escorte bien payée
Le téléphone m’a ouverte à d’autres plaisirs. Quand un type m’a proposé 1000 balles pour passer une nuit avec lui dans un palace, j’ai rigolé… puis j’ai dit oui. J’avais déjà tellement mouillé au téléphone que je crevais d’envie de le sucer en vrai. Et quand j’ai vu la gueule du billet, j’ai compris que j’avais plus besoin de chercher de “vrai” job. Escorter, c’est comme le tel rose, mais avec les doigts qui rentrent vraiment. Et moi, j’adore quand ça rentre.Je suis superficielle ? Absolument ! J’aime les sacs de luxe, les hôtels avec jacuzzi et les mecs blindés qui me traitent comme leur poupée cochonne. Je fais semblant de gémir s’il faut, mais en vrai je prends mon pied. Je me fais baiser dans les chiottes de clubs privés, je suce sous les tables au resto, je me fais prendre dans le coffre d’une voiture pendant que son chauffeur conduit… ma vie, c’est du cul tarifé et j’en suis fière.
Mes limites ? Aucune, sauf s’il faut me priver de jouir
Tu veux savoir ce que les mecs me demandent au téléphone ? De tout. Se branler en me racontant comment ils aimeraient me dilater le cul avec un poing. Me faire baiser par leur chien. M’insulter comme une pute sans nom pendant qu’ils se branlent comme des animaux. Tu crois que j’ai peur ? Je mouille. Je mouille grave. Tant que j’ai le contrôle, tant que c’est moi qui encaisse l’argent et les orgasmes, j’en ai rien à foutre.Les seules choses que je refuse ? Les trucs qui m’empêchent de jouir. Si t’es là pour me faire la morale ou pour me parler comme à une femme fragile, dégage. Moi je suis une salope au tel, une vraie. J’ai le cerveau branché entre les jambes, et le cœur au fond de la gorge quand je l’avale bien profond. C’est ça ma vie : sexe au tel, plaisir pur, et zéro culpabilité. Tu peux me juger si tu veux. Moi, pendant ce temps, je jouis et je compte mes billets.