Soumise au tel rose pour les plus pervers
☎ Le fantasme de la femme soumise à qui on peut tout demander et qui s’exécute sans problème.
Durant les siècles derniers, s’agissant de la cellule familiale, la casquette de chef était exclusivement réservée à l’homme. Il détenait tous les pouvoirs, c’était l’alpha et l’oméga. C’est l’homme qui prenait les grandes décisions, qui dictait ses codes, sa ligne de conduite et le reste était tenu d’exécuter. La principale conséquence d’un pouvoir sans partage étant l’abus d’autorité, certains traitaient leurs conjointes comme des esclaves et ceci, impunément. Si les meurs ont évolué et que les femmes refusent désormais d’être assujetties, il n’en demeure pas moins qu’on observe encore quelques couches de résistances. Certains couples sont encore nostalgiques de cette époque où les rôles de dominant-dominés étaient de mise.
Excessifs, certains hommes usaient et abusaient de leur droit. On pouvait observer de nombreuses dérives et particulièrement celles liées au sexe. Ces dictateurs patentés faisaient subir à leurs tendres épouses des sévices durant l’acte sexuel. Utiliser un fouet, assener des baffles aux fesses ou autres parties du corps avant la pénétration, attacher sa conjointe toute nue pour l’humilier et, d’autres poussaient même plus loin en offrant ces dernières à leurs invités.
Le concept du mâle dominant avait tout son sens et, ivresse du pouvoir oblige, les dérives étaient fréquentes, plusieurs en profitaient pour transformer leurs épouses en femme objet. Si ce comportement rebutait certaines épouses, d’autres par contre aimaient bien. Étonnant n’est-ce pas ? Ces dernières portent fièrement l’étiquette de soumises, d’esclaves sexuelles volontaires.
Si les meurs ont changé et que l’égalité des sexes est désormais effectif, plusieurs de ces coquines ont hérité du comportement d’esclave et elles sont prêtes à tout pour trouver des hommes machos et même psychopathes pour passer du bon temps.
Les jeux sadomasochistes sont leurs spécialités. Ces pratiquent extrêmes sont l’ingrédient principal sans lesquels le sexe perd toute sa saveur. Ces femmes soumises ont besoin d’une bonne correction physique ou morale pour jouir. Pour les trouver facilement, il est plus indiqué de composer le numéro d’une soumise au téléphone, ou de pointer son nez dans un club libertin.
En grandissant, certaines femmes ont reçu une éducation orientée dans le sens de la soumission inconditionnelle à l’homme. On les retrouve souvent dans les sociétés orientales, mais occidentales aussi. Ces muses sont des proies faciles. Elles n’ont aucune notion de l’affirmation de soi car pour elles, la logique selon lequel l’homme le maître de maison est une constante au, c’est un crime lèse majesté de le contrarier. Certains perfides qui tombent sur des femmes qui tiennent ce raisonnement n’hésitent pas à profiter de cette faiblesse éducationnelle pour assouvir leurs fantasmes sexuels les plus cochons.
Ensuite, d’autres sont nées extrêmement soumises. Elles ont beau essayé de repousser cette nature masochiste, il y a rien à faire. Ces femmes sont passées de psychologues en psychologues pour chercher des thérapies qui n’ont jamais porté leurs fruits. Nous les retrouvons, tapies derrière leur tel rose, à s’offrir des soirées de sexe SM en ligne. Pour elles, le téléphone rose hard n’est pas qu’un moyen d’arrondir les fins de mois, c’est aussi une thérapie, une façon d’assouvir leur besoin de soumission sexuelle.
Influencées par un évènement, ou tout simplement dans le but satisfaire leur curiosité, plusieurs femmes sont tombées dans le cercle vicieux du sexe SM. Elles ont joué avec le feu et n’en sont plus ressorties car, le plaisir qu’elles ont tiré de ces pratiques sexuelles extrêmes dépassent tout ce qu’elles ont connus.
La secrétaire parisienne Nanette, une bretonne d’origine, ne s’est jamais extirpée de ce vice. Femme célibataire, elle fut piquée par une folle envie de se faire mettre une fessée. Ouverte mais pas salope, elle en parla à un de ses collègues qui, justement, appartenait à un réseau occulte d’amoureux de sexe SM. Ce soir même, il proposa à Nanette de venir prendre sa fessée à son domicile car, il y avait quelques amis qui ont en partage ces pratiques dénigrantes pour la gente féminine. Notre secrétaire bretonne ne savait pas qu’en acceptant, elle entrerait dans l’univers infernal du sadomasochisme. Ce soir, elle a pris une fessée devant un parterre de monde qui regardait. Elle qui avait du mal à avoir des orgasmes quand elle fait l’amour en a compilé des dizaines en quelques minutes. Partagés entre le sentiment de honte, d’humiliation et de jouissance, elle a tout d’abord fait le choix de plus réitérer mais, le plaisir n’ayant pas de pris, notre coquine n’a pas attendu la semaine suivante pour faire son rétropédalage. En un lapse de temps, elle a connu plusieurs pratiques liées au sadomasochisme. Des brûlures aux sévices sur la croix de saint andré, avec quelques humiliations publiques, Nanette était devenue un objet sexuel consentant, une personnalité qu’elle a acquise à cause de sa curiosité. Mais, quelques mois après ses débuts dans la pratique, elle avait décidé de tout faire pour arrêter. Aujourd’hui, elle est sortie du réseau mais continue virtuellement d’alimenter la masochiste à travers le téléphone rose.
Quand certaines adorent les accessoires, d’autres salope au tel préfèrent jouer bras ballants. À chacune sa technique mais nous retenons les suceuses, les femmes qui aiment la sodomie en ligne, celles qui adorent les insultes ou encore celles qui vous donnent le fouet.
Avec ces soumises au tel, le seul mot d’ordre est celui de se laisser aller, de prendre du bon temps sans penser à autre chose. Elles vous initient, tout comme elles sont prêtes à apprendre de nouvelles choses. Beurettes, blacks, asiatiques, caucasiennes, elles viennent de tous les horizons pour une mission commune, faire jouir les hommes au tel.
Excessifs, certains hommes usaient et abusaient de leur droit. On pouvait observer de nombreuses dérives et particulièrement celles liées au sexe. Ces dictateurs patentés faisaient subir à leurs tendres épouses des sévices durant l’acte sexuel. Utiliser un fouet, assener des baffles aux fesses ou autres parties du corps avant la pénétration, attacher sa conjointe toute nue pour l’humilier et, d’autres poussaient même plus loin en offrant ces dernières à leurs invités.
Le concept du mâle dominant avait tout son sens et, ivresse du pouvoir oblige, les dérives étaient fréquentes, plusieurs en profitaient pour transformer leurs épouses en femme objet. Si ce comportement rebutait certaines épouses, d’autres par contre aimaient bien. Étonnant n’est-ce pas ? Ces dernières portent fièrement l’étiquette de soumises, d’esclaves sexuelles volontaires.
Si les meurs ont changé et que l’égalité des sexes est désormais effectif, plusieurs de ces coquines ont hérité du comportement d’esclave et elles sont prêtes à tout pour trouver des hommes machos et même psychopathes pour passer du bon temps.
Les jeux sadomasochistes sont leurs spécialités. Ces pratiquent extrêmes sont l’ingrédient principal sans lesquels le sexe perd toute sa saveur. Ces femmes soumises ont besoin d’une bonne correction physique ou morale pour jouir. Pour les trouver facilement, il est plus indiqué de composer le numéro d’une soumise au téléphone, ou de pointer son nez dans un club libertin.
Comment les femmes deviennent-elles soumises ?
Le comportement de femme soumise peut être héréditaire, naturel ou acquis.En grandissant, certaines femmes ont reçu une éducation orientée dans le sens de la soumission inconditionnelle à l’homme. On les retrouve souvent dans les sociétés orientales, mais occidentales aussi. Ces muses sont des proies faciles. Elles n’ont aucune notion de l’affirmation de soi car pour elles, la logique selon lequel l’homme le maître de maison est une constante au, c’est un crime lèse majesté de le contrarier. Certains perfides qui tombent sur des femmes qui tiennent ce raisonnement n’hésitent pas à profiter de cette faiblesse éducationnelle pour assouvir leurs fantasmes sexuels les plus cochons.
Ensuite, d’autres sont nées extrêmement soumises. Elles ont beau essayé de repousser cette nature masochiste, il y a rien à faire. Ces femmes sont passées de psychologues en psychologues pour chercher des thérapies qui n’ont jamais porté leurs fruits. Nous les retrouvons, tapies derrière leur tel rose, à s’offrir des soirées de sexe SM en ligne. Pour elles, le téléphone rose hard n’est pas qu’un moyen d’arrondir les fins de mois, c’est aussi une thérapie, une façon d’assouvir leur besoin de soumission sexuelle.
Influencées par un évènement, ou tout simplement dans le but satisfaire leur curiosité, plusieurs femmes sont tombées dans le cercle vicieux du sexe SM. Elles ont joué avec le feu et n’en sont plus ressorties car, le plaisir qu’elles ont tiré de ces pratiques sexuelles extrêmes dépassent tout ce qu’elles ont connus.
La secrétaire parisienne Nanette, une bretonne d’origine, ne s’est jamais extirpée de ce vice. Femme célibataire, elle fut piquée par une folle envie de se faire mettre une fessée. Ouverte mais pas salope, elle en parla à un de ses collègues qui, justement, appartenait à un réseau occulte d’amoureux de sexe SM. Ce soir même, il proposa à Nanette de venir prendre sa fessée à son domicile car, il y avait quelques amis qui ont en partage ces pratiques dénigrantes pour la gente féminine. Notre secrétaire bretonne ne savait pas qu’en acceptant, elle entrerait dans l’univers infernal du sadomasochisme. Ce soir, elle a pris une fessée devant un parterre de monde qui regardait. Elle qui avait du mal à avoir des orgasmes quand elle fait l’amour en a compilé des dizaines en quelques minutes. Partagés entre le sentiment de honte, d’humiliation et de jouissance, elle a tout d’abord fait le choix de plus réitérer mais, le plaisir n’ayant pas de pris, notre coquine n’a pas attendu la semaine suivante pour faire son rétropédalage. En un lapse de temps, elle a connu plusieurs pratiques liées au sadomasochisme. Des brûlures aux sévices sur la croix de saint andré, avec quelques humiliations publiques, Nanette était devenue un objet sexuel consentant, une personnalité qu’elle a acquise à cause de sa curiosité. Mais, quelques mois après ses débuts dans la pratique, elle avait décidé de tout faire pour arrêter. Aujourd’hui, elle est sortie du réseau mais continue virtuellement d’alimenter la masochiste à travers le téléphone rose.
Les pratiques du SM au tel
La distance, le temps ou la vie de couple peuvent constituer un frein au plein épanouissement sexuel, surtout quand on a des envies jugées pas catholique. Aussi, les hommes dominateurs qui aimeraient se faire plaisir trouvent la solution à travers le tel rose qui est un support ouvert à tous. Au tel coquin, on trouve des femmes soumises de toutes les catégories et aux méthodes différentes.Quand certaines adorent les accessoires, d’autres salope au tel préfèrent jouer bras ballants. À chacune sa technique mais nous retenons les suceuses, les femmes qui aiment la sodomie en ligne, celles qui adorent les insultes ou encore celles qui vous donnent le fouet.
Avec ces soumises au tel, le seul mot d’ordre est celui de se laisser aller, de prendre du bon temps sans penser à autre chose. Elles vous initient, tout comme elles sont prêtes à apprendre de nouvelles choses. Beurettes, blacks, asiatiques, caucasiennes, elles viennent de tous les horizons pour une mission commune, faire jouir les hommes au tel.
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